Mademoiselle de Joncquières – Film – France (2018)

Pour ma part, j’ai regardé le film Mademoiselle de Joncquières en replay sur le site d’Arte. Pour savoir si le film est disponible sur une plateforme, vous pouvez consulter la fiche du film sur le site JustWatch. Le film est également disponible en DVD. (Sur certains sites, il est possible de trouver une fiche du Blu-ray du film, mais celui-ci n’a jamais été commercialisé.)

I. Mademoiselle de Joncquières

Sorti au cinéma en 2018, le film Mademoiselle de Joncquières est une adaptation de l’Histoire de Mme de la Pommeraye, qui figure dans le roman Jacques le Fataliste et son maître, écrit par Denis Diderot. Parmi les différences avec l’œuvre originale, on pourra noter que le personnage de Lucienne, l’amie de Madame de la Pommeraye, a été créé spécialement pour le film.

Synopsis :

Au XVIIIe siècle, Madame de La Pommeraye se prend d’amitié pour le marquis des Arcis, qui n’a de cesse de la courtiser. Mais celui-ci a déjà connu bon nombre d’aventures, tant il se lasse rapidement de chacune de ses conquêtes, et Madame de La Pommeraye est bien décidée à lui résister…

D’une manière générale, il y a une ligne de dialogue (dite à 1 h 08) qui résume parfaitement le film :

L’amour est un fléau et change notre nature.

Et, en effet, les sentiments éprouvés par chacun des deux personnages principaux les changeront à jamais.

Le casting principal du film se compose de Cécile de France (Illusions Perdues, Cars), Édouard Baer (Astérix et Obélix, Molière) et Alice Isaaz (Fiston, Play, Une belle course).

Et si vous souhaitez faire connaissance avec le réalisateur du film, Emmanuel Mouret, vous pouvez vous intéresser à cette interview réalisée par OCS.

II. Mon plan préféré

Alerte Spoilers ! 

Les paragraphes suivants comprennent des spoilers.

Parmi les différents plans proposés par le film, celui que j’ai préféré se trouve à la 32e minute du film. On y voit ainsi le personnage de Madame de La Pommeraye à contre-jour et on peut facilement y trouver une dimension symbolique. À partir de cet instant-là, une seule obsession la hante. Désormais, tout ne sera que duperie et faux-semblant. La gaieté qui se dégageait d’elle depuis le début du film semble bel et bien révolue.

Madame de La Pommeraye se tient à contre-jour devant la fenêtre.

Et, en bonus, voici une ligne de dialogue dite à 48 min, qui n’a pas manqué de me faire sourire :

Serait-ce donc par bonté que vous songez à le faire souffrir ?

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